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Addiction aux substances illicites MDMA /ecstasy, drogues de synthèse, cocaïne et chemsex chez l’adolescent

ven. 15 mars

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Classe virtuelle sur ZOOM

DPC validant comportant une classe virtuelle de 3h et une évaluation à distance de 3h N° 36472325030

Les inscriptions sont closes
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Addiction aux substances illicites MDMA /ecstasy, drogues de synthèse, cocaïne et chemsex chez l’adolescent
Addiction aux substances illicites MDMA /ecstasy, drogues de synthèse, cocaïne et chemsex chez l’adolescent

Heure et lieu

15 mars 2024, 14:00 – 17:00

Classe virtuelle sur ZOOM

À propos de l'événement

Expert : Pr Yann LE STRAT 

Psychiatre addictologue PUPH CH Colombes 

Programme 

Spécialités  MG et pédiatres

Résumé:

La loi n°2016-41 de modernisation de notre système de santé du 26 janvier 2016 conforte la politique de réduction des risques et des dommages, sécurisent ses intervenants et l’étendent au champ des substances psychoactives licites

Les addictions peuvent être dirigées vers des substances psychoactives et les produits peuvent être licites (alcool, médicaments, etc.) ou illicites (cannabis, cocaïne, MDMA /Ectasy.). Il existe souvent des poly‐addictions [1]

Les risques et les dommages liés aux pratiques addictives sont multiples, ils sont aussi bien sanitaires que psychologiques et/ou sociaux. Les risques concernent aussi bien la personne que son entourage.

Il y a des risques à court terme et d’autres à plus long terme, des risques liés à différents facteurs.

Par ailleurs, certaines pratiques sont vectrices de maladies infectieuses (VIH, hépatites, etc.) notamment dans la pratique de Chemsex, pratique de plus en plus répandue. Pour d’autres produits, et notamment les nouveaux produits de synthèse (NPS), le rythme soutenu d’arrivée sur le marché de nouvelles molécules, la variation des appellations commerciales et les incertitudes quant à la composition exacte des produits rendent compliquée l’évaluation des risques immédiats et à plus long terme.

Aborder la question des usages de substances psychoactives ne peut se faire que dans le cadre d’une alliance thérapeutique développée entre le professionnel de santé et son patient. Cela implique que le soignant se sente suffisamment à l’aise avec cette question, et que le patient se sente suffisamment prêt et en confiance pour évoquer le sujet.

Poser la question des usages de MDMA /ecstasy, drogues de synthèse, ou/et decocaïne, dans le cadre d’un suivi d’un adolescent peut se faire :

  • Systématiquement pour tous les nouveaux patients quand ils viennent pour la première fois en consultation ;
  • Périodiquement au fil des ans auprès des patients suivis de manière régulière.

Les effets somatiques ou psychosociaux de ces substances peuvent être une porte d’entrée à la discussion

Aborder les consommations de ces substances psychoactives nécessite de s’accorder sur le « timing » de la personne, qui n’est pas toujours prête à en parler immédiatement et de manière approfondie.

Pour faciliter le repérage, des questionnaires standardisés et scientifiquement validés sont à disposition des professionnels de santé et doivent être connus par ceux-ci

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